La sortie de Prey (5e film de la série du Prédateur) et la récente annonce d’un second Joker nous a donné envie de repérer, à travers les archives de Mediafilm, des suites qui valent leur pesant d’or.
Les suites rendent-elles justice à l’oeuvre originale? Pas souvent, mais cette pratique, à dessein plus mercantile qu’artistique, engendre parfois d’étonnantes surprises.
L’un des premiers exemples remonte à 1935 avec The Bride of Frankenstein, aujourd’hui salué par plusieurs comme étant le chef d’oeuvre de James Whale. Près de 40 ans plus tard, la saga amorcée par Francis Ford Coppola avec Le parrain a pris des allures de fresque grandiose, grâce à un second volet achevé. Rares sont les suites qui se sont avérées aussi puissantes dans l’histoire du septième art.
Au tournant des années 1980, les suites sont rapidement devenues monnaie courante à Hollywood. Et si le phénomène se fait plus timide ailleurs dans le monde, l’Australie (Mad Max 2), la France (Astérix et Obélix - Mission Cléopâtre) et le Québec (1987), ont aussi su faire preuve d’adresse en la matière.
Voici donc 10 suites considérées comme des réussites, et généralement aussi bien (sinon mieux) cotées que les films originaux.
Le grand Paul Schrader est de retour en sélection officielle à Cannes avec Oh Canada, une adaptation du livre-testament de son ami Russell Banks, décédé en janvier 2023, et qui met en vedette Richard Gere et Uma Thurman.
Une langue universelle, deuxième long métrage de Matthew Rankin, est projeté en première mondiale à la Quinzaine des cinéastes en marge du 77e Festival de Cannes.
Après avoir raflé les prix du jury et de la mise en scène à Cannes avec The Lobster et The Killing of a Sacred Deer, Yórgos Lánthimos concourt de nouveau pour la Palme d’or avec Kinds of Kindness.
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